Crise du coronavirus, le capitalisme tue ! Eradiquons le !

Deux mois de confinement. Notre patience est à bout et la colère envers ce système s’en mêle. Travailleuses, chômeurs, galériennes et exploités, nous n’avons pas chômé pendant ces mois d’assignation à résidence généralisée. Nous avons compris que le capitalisme tue plus que le virus, que sous prétexte d’état d’urgence sanitaire des mesures autoritaires et pro-capitalistes sont là pour nous exploiter d’avantage et tenter de nous faire courber l’échine. Mais comme pendant les mois de lutte Gilets Jaunes, nous ne lâcherons rien. Des solidarités sont possibles et nécessaires, notre rage prendra de nouvelles formes de lutte et nous ferons tout pour ne pas revenir à la « normalité » d’avant.

Brochure A5 mis en page là : Lutte-covid-brochure-A5

PDF A4 ici : Lutte-covid

Crise du coronavirus : le capitalisme tue. Éradiquons-le !

Début février, l’épidémie de COVID19 en Chine faisait la une de l’actualité. Quelques semaines plus tard elle atteignait l’Europe. Depuis, le monde vit massivement confiné.

Facilitée par la mondialisation et la multiplication des échanges marchands, la pandémie s’est généralisée. Désormais elle tue tous les jours des milliers de personnes dans le monde.

Même sans être spécialiste, on se rend compte que les responsabilités, au-delà de celles qui pourraient être imputées à la Chine, à l’Italie, à la France ou à tout autre pays, reviennent au système capitaliste.

En plus de l’augmentation de la fréquence des catastrophes « naturelles » type inondation, sécheresse, ouragan, mégafeu, due au réchauffement climatique et générée par la pollution de l’industrie capitaliste, les pandémies s’avèrent être une autre conséquence de l’activité prédatrice du capital.

 » On est là » et on y sera encore et toujours !

#pasderetouralanormale

Des GJ, révoltés et confinés, déters et solidaires

gj_ales@riseup.net

defcolgj@riseup.net

Suite à lire ici : https://defensecollectivegj.noblogs.org/post/2020/05/04/crise-du-coronavirus-le-capitalisme-tue-eradiquons-le/

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